Un P'tit Clip : Match - Salvation Journey

L'heure de la revanche a sonné. C'est le retour de match, avec le nouvel EP "Superficial Please". On connaissait "Dark Shade", aujourd'hui on a droit à "Salvation Journey [Part 2]" et son clip qui fait du bien. On vous raconte.

Bon, la dernière fois, c'est vrai, on s'est pris la pâtée avec Match. On vous avait raconté comment, aller-retour, baam. Ils avaient sorti le grand jeu, "Dark Shade" et tout. Ça avait tout l'air d'être les galactiques du rock.

Il nous avaient promis une nouvelle rencontre. On a joué le jeu et on a remis le couvert. On avait des rêves de remontada. Mais avec l'EP "Superficial Please", il y avait d'entrée de jeu le titre "Salvation Journey [Part 2]" qui a emporté la mise.



Pour cette rencontre, c'est vrai, on doit l'avouer, avec l'humiliation, on était un peu comme le PSG après s'être pris 6 buts en Champions League alors que t'en a trois d'avance et que t'es quasi qualifié. La remontada qu'on appelle ça. 

Sauf que nous, après les deux premières rencontres contre Match, deux défaites cuisantes, on était plutôt dans la peau d'une équipe de coiffeurs. Comme le PSG, quoi.

Alors il nous fallait faire le jeu d'entrée pour marquer et s'assurer la remontada à laquelle personne ne croyait. On avait foi en notre troisième chance, la dernière. Ils pouvaient pas de toute façon continuer sur une telle puissance de jeu.


Avec l'EP "Superficial Please", Match devient le carré magique du rock


Mais Match, c'est pas le PSG. C'est à dire que ça gamberge pas dans la tête quand t'as mis trois buts à l'aller. 

Avec Match, t'as pas comme le tennisman français de base, le bras qui tremble alors que t'as 3 balles de match au troisième set en finale de RG et que "t'as peur de gagner", et du coup tu perds en 5 sets pour finir sous les huées avec, encore pire, une interview de Nelson Monfort. Remarque, mauvais exemple, un tennisman français en finale de RG... Y'a un truc qui va pas là...

Nan, Match, c'est plutôt de la deutsche qualität, ça tremble pas. Et même s'ils nous ont mis la correction à deux reprises, et on peut t'assurer que, quel que soit l'enjeu, ils sont toujours aussi motivés. 

Sans tergiverser, ils sont donc entrés sur le terrain avec leur nouvel EP, et on a su direct que nos rêves de remontada ont pouvait les plier et les ranger. 

Avec "Superficial Please", en 5 track, on a frisé la correctionnelle... 

On s'est arrêté, on les a regardés et on les a laissé jouer. 

On a eu droit à notre descentada, quoi.





Match c'est comme un ouragan de rock qui t'emporte. Et rien à voir avec l'ouragan en gel qui débouche les WC ou celui de la princesse de Monaco qui débouche les oreilles.

Contrairement à nous, ils n'ont pas besoin de simuler la faute dans la surface de réparation pour obtenir un penalty, ni de s'arranger pour avoir la "main de Dieu" à la place de la coupe au bol. 

Nan, là, avec Match, une cacahuette et hop, patator est de retour. En deux temps trois mouvement, c'est réglé, un peu comme le carré magique des années 80. 

Match, c'est le carré magique du rock, quoi.

Avec l'EP "Superficial Please", Match devient le carré magique du rock




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