Le Couvent des Caraïbes, mon troisième roman

S'enfuir dans un couvent mixte dans les Caraïbes pour protéger ses enfants d'une mère proxénète, cela ne s'invente pas. LE COUVENT DES CARAÏBES est une aventure déjantée, avec une Mère supérieure ex-star de l’industrie du X, un détective au rabais, une espionne du Vatican, des sosies de célébrités has been et le Pape en personne pour se mêler à l’affaire.

Un troisième roman... barré

Comment ? Eh oui, c'est vraiment le troisième, rien que ça. Si l'humeur vous en dit, vous pouvez même retrouver les deux premiers sur le site ou sur les plateformes de vente en ligne.

C'est d'ailleurs là que se trouve LE COUVENT DES CARAÏBES : sur la FNAC ou Amazon. Parce que l'idée ne viendrait à personne de me chercher sur Manuscrit.com, enfin j'imagine.

Voici la couverture de ce qui, je pense, devrait devenir un Best-Sellers. Une couverture sobre mais qui tranche nettement avec ce qu'il y a à l'intérieur.

C'est mon roman le plus trash, si l'on peut dire comme cela. C'est celui qui est le plus barré.  C'est celui dans lequel j'ai laissé voguer mon inspiration la plus délirante. Je n'ai mis aucune barrière, ou presque à ce récit.

Le pitch va vous faire rêver

Un divorce qui tourne mal… Situation banale en apparence, qui l’est moins quand la mère, proxénète qui rêve d'exploiter sa fille dans son club, pousse le père à prendre la fuite avec ses deux enfants, accompagné par son meilleur ami gay, lui-même recherché par deux dealers. 

Direction : un couvent mixte aux Caraïbes, dont la Mère supérieure est une ex-star de l’industrie du X. Un détective au rabais, une espionne du Vatican, des sosies de célébrités has been et le Pape en personne se mêlent à l’affaire.

Une histoire de fou à l'origine

A l'origine de ce roman, une soirée bien arrosée en 1995, qui a fait naître une idée stupide de récit. Un récit qui est resté enfoui dans un tiroir pendant de longues années jusqu'à ce que je le ressorte et que j'en fasse LE COUVENT DES CARAÏBES.

Petit extrait pour la route

"Il regardait à nouveau dans le vague. Il ne nota même pas le spectacle fascinant offert par un nombre impressionnant de cyclistes qui risquaient leur vie en slalomant pour tenter d’échapper aux attaques de hordes de taxis barbares et de bus en furie. Le championnat parisien de suicide cycliste battait son plein et faisait traditionnellement de nombreuses victimes chaque année, ce qui permettait de réguler la population croissante de cette espèce pas encore protégée qui envahissait la capitale, enfreignant effrontément les lois de la circulation et les feux rouges, et cela même au prix de sa vie. Le salut de cette régulation, ô combien nécessaire pour éviter le chaos, reposait sur des chasseurs zélés équipés de taxis, bus, camions poubelles."

Vous voulez en savoir plus ? Vite, visitez la PAGE FACEBOOK du COUVENT DES CARAÏBES. 

En savoir plus avec mon interview

Et puis suivez mon Interview sur le blog MOIJYCROIS, où je réponds aux questions de l'auteur et journaliste québécois Denis-Martin Chabot. 

Une interview très sympa qui donne envie de lire mon roman (C'est la vérité).

Ca vous donne pas envie d'y aller ?

Il ne vous reste plus qu'à vous l'offrir et à vous faire votre propre avis !